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Les jeunes filles palestiniennes participent activement au soulèvement populaire en Palestine
Les femmes palestiniennes sont toujours actives dans la résistance en Palestine. Des jeunes filles à Gaza et en Cisjordanie jettent des pierres sur les soldats et les colons israéliens agresseurs. Elles soutiennent les jeunes dans les affrontements avec les forces de l’occupation israélienne.
Un nouveau cycle de violences en Cisjordanie et à Jérusalem-Est a débuté suite aux provocations d’extrémistes sur l'esplanade des Mosquées. Depuis plus de 67 ans, les différents gouvernements israéliens poursuivent inlassablement leur entreprise de colonisation de la Palestine.
Je t'attends à Charonne, une magnifique chanson écrite par Leny Escudero en 1968, en mémoire des victimes de la répression policière d'une extrême violence qui s'abattit sur les manifestants anti-OAS lors de la manifestation du 8 février 1962....au métro Charonne.
Les victimes du massacre de Charonne étaient toutes des militants de la CGT et pratiquement toutes communistes ; trois d’entre elles étaient des salariés de l’Humanité.
Six hommes, trois femmes, le plus jeune avait quinze ans, ils étaient ouvriers, employés, techniciens.
Secoué par de nouveaux troubles politiques, le Burkina Faso vient de perdre un de ses artistes les plus talentueux et attachants : ce lundi 21 septembre, Victor Démé a été emporté par une crise de paludisme. Auteur de deux albums, le chanteur avait prévu de remonter bientôt sur scène, en France, avec de nouvelles chansons.
Quelques jours avant la sortie de son nouvel album « Yakafé », le chanteur et guitariste burkinabé Victor Démé s’est éteint lundi 21 septembre d’une crise de paludisme à Bobo-Dioulasso, sa ville natale. Il avait 53 ans.
Originaire de Bobo-Dioulasso – situé au sud-ouest du Burkina Faso - le chanteur Victor Démé s’est éteint, lundi 22 septembre d’une crise de paludisme à l’âge de 53 ans. Auteur de deux albums, le chanteur avait prévu de remonter prochainement sur scène en France, et de sortir un nouvel album. Issu d’une famille de tailleurs, Victor Démé avait hérité de sa mère griotte - en Afrique noire, personne qui a pour fonction de chanter des histoires ou mythes passés - sa passion pour la musique.
Elle n’a que 28 ans et déjà trois ans de guerre derrière elle. Une guerre qu’elle mène dans le Rojava avec les YPJ, les unités combattantes de femmes kurdes de Syrie, contre l’organisation de l’« État islamique ». Les armes à la main, elle défend « la liberté, le socialisme et des droits identiques pour les femmes et les hommes ».
La première fois que je l’ai vue, c’était tout de même dans un drôle d’endroit : la ligne de front au sud de la ville d’Hassaké. Sous les coups de boutoir des forces kurdes, YPG et YPJ (les femmes), les djihadistes de l’organisation de l’« État islamique » (EI ou Daech) avaient battu en retraite, fin juillet, mais se tenaient à quelques centaines de mètres – un kilomètre tout au plus – de là. Impressionnant !
Une fois la dernière butte de défense passée, alors que s’étend un désert rocailleux, on distingue quelques baraques où se sont dissimulés les égorgeurs de Daech. C’est alors que je l’ai d’abord entendue. « Il y a quelqu’un qui parle français, ici ? » demandait-elle à la ronde, sachant bien que personne ne pouvait la comprendre, à l’exception de ce fameux francophone. « Ah, ça fait du bien.
Je n’ai pas parlé le français depuis trois ans », avoue-t-elle tout de go. « Ici, quand je parle français, tout le monde rigole. Remarquez, je les comprends, ça les détend. » On est un peu interloqué. Pensez donc ! Sur cette ligne de front bien instable et incertaine, se dresse soudain devant nous une grande fille vêtue d’un treillis militaire et le front ceint d’un turban comme en portent les femmes kurdes. Un visage ouvert.
Tout d'un coup Victor essaya péniblement de se lever et comme un somnambule, se dirigea vers les gradins, ses pas mal assurés, et l'on entendit sa voix qui nous interpellait :
" On va faire plaisir au commandant. " Levant ses mains dégoulinantes de sang, d'une voix angoissée, il commença à chanter l'hymne de l'Unité populaire, que tout le monde reprit en choeur.
C'en était trop pour les militaires ; on tira une rafale et Victor se plia en avant.
Chili, 42 ans. Anniversaire du coup d’Etat de Pinochet (11 septembre 1973, 11 septembre 2015)
"Savez-vous pourquoi il n'y a jamais eu de coup d'Etat aux Etats-Unis ? Parce qu'il n'y a pas d'ambassade des Etats-Unis aux Etats-Unis..." Michelle Bachelet, ancienne Présidente du Chili (fille d'un général assassiné avec la complicité des Etats Unis).
A l'occasion de la 80 ème fête de l'Humanité, parade sur nos ondes des chanteurs ayant participé à cette fête : Aphrodite's Child (1969), Charles Aznavour (1988), Jacques Brel (1960, 1963), Deep Purple (2009), Ray Charles (1981), Rita Mitsoukou (1995), Mano Négra (1990), Miriam Makeba (1972-1977), Salvator Adamo (1968), Cesaria Evora (1997), Pink Floyd (1970), Mort Shuman (1973), Johan Baez (1972-2012), Jean Louis Aubert (2003), Jacques Dutronc (1969), Zazie (2003), Carlos Santana (1991), Raphael (2006), Salif Keita (1985, 1990, 1991), Jean Ferrat (1962-1972) et des dizaines et dizaines d'autres...
Dirigeante communiste palestinienne, elle se bat pour les droits des femmes, contre les violences qui leur sont faites. Elle sera présente à la Fête de l’Humanité.
Fadwa Khader est sur tous les fronts : membre du bureau politique du Parti du peuple palestinien (PPP), elle fut à plusieurs reprises candidate aux élections à Jérusalem-Est, ce qui lui valut de connaître les prisons israéliennes. Active dans la défense des prisonniers politiques, elle préside l’Organisation palestinienne des femmes rurales. Ces dernières années, elle s’est lancée dans la lutte contre les « crimes d’honneur » qu’elle a eu le courage d’initier en Palestine, bravant la tradition et les non-dits. Elle a ajouté une nouvelle corde à son arc en créant l’association « Tournesols », qui se bat pour la défense de l’environnement, une question longtemps ignorée dans le contexte de l’occupation israélienne et des contraintes que subit la population palestinienne.
Vive, brune, toujours souriante, personne n’imaginerait que ce vif-argent est déjà grand-mère de huit petits-enfants. En énumérant tout ce qu’elle a accompli, on se demande où elle a trouvé le temps d’élever ses deux garçons et ses trois filles. Où a-t-elle puisé toute l’énergie et le courage dont elle déborde ?
Elles et les combats d'aujourd'hui. Élue conseillère municipale socialiste, l’ancienne militante d’Occupy fait adopter le Smic à 15 dollars de l’heure pour tous les salariés de Seattle. Son nouveau combat : le contrôle des loyers.
Une militante socialiste, née en Inde, fraîchement naturalisée américaine, élue conseillère municipale, sous l’étiquette « socialiste », d’une grande cité de son nouveau pays face au candidat de la toute-puissante machine démocrate. Un combat pour la justice sociale : un salaire minimum décent.
Des salariés – notamment des femmes africaines-américaines et hispaniques – qui vivent pour la plupart leur premier mouvement de grève. Et au final, une victoire : pas un salaire en dessous de 15 dollars de l’heure à Seattle, la ville d’Amazon et de Starbucks.
Ce petit synopsis pourrait ressembler à une fiction pour magazine progressiste, voire à un conte empli de bons sentiments à faire dormir debout d’indécrottables optimistes. Or… Il s’agit bel et bien d’une histoire américaine du XXIe siècle, dont Kshama Sawant est une actrice majeure.