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musique

  • OTES PIRATES : COUP DE COEUR

    Chansons Rouges Web Radio dans sa programmation permet la découverte de nouveaux talents, chanteurs Rebelles et d'expressions, c'est le cas d'Oté Pirates.

    "L’album d’Oté Pirates est "une belle découverte…dés son ouverture avec la chanson l’Occitan Indien, le combo nous plonge dans son univers métissé aux multiples influences. un véritable jeu d’équilibriste qui tisse des ponts entre l’ Occitanie et notre île ( La Réunion) aussi bien par les musiques que par les mots de l’auteur…au cours des 12 titres on se promène dans leur monde et leurs pensées pleines de références et de portraits sans jamais perdre le fil. La richesse de l’instrumentation donne le fil très intéressant et ensolleillé à l’ensemble de cette galette péi. Courez les voir sur scène vous ne serez pas déçus !"

    Paru dans le magazine Belle, Journal Le Quotidien du 07/10/2014

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  • DIX SEPT ANS !

    17 ans, c'est la chanson que Jean Ferrat a dédiée aux combattantes vietnamiennes qui comme aujourd'hui les combattantes Kurdes se battent pour la liberté.

    La chute de Saigon le 30 mai 1975 marque la fin de trente ans de guerre au Vietnam, d’abord entre la France et l’Indochine, puis entre le Nord-Vietnam pro communiste et ses alliés du Vietcong, et le Sud-Vietnam et ses puissants alliés américains qui se croyaient invincibles.

    Le pouvoir vietnamien parle encore aujourd’hui d’une guerre de libération, payée au prix très fort : de 3 à 4 millions de morts, un pays dévasté.

    Pour les Américains, la guerre du Vietnam reste surtout la première guerre qu’ils ont perdue, avec un bilan de 150 000 blessés et de 58 000 morts.

    Utilisation massive de gaz défoliants, de la torture, pratiques de guérilla ultra-violentes qui devaient inspirer plus tard l’Apocalypse now de Coppola.

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  • LA JUGE ET L'ASSASSIN

    La bande originale du film a été composée et écrite par Philippe Sarde et Jean-Roger Caussimon. Au delà des illustrations sonores très riches (extraits d'opéras et airs populaires de la fin du XIXe siècle), le réalisateur a commandé trois chansons spécialement écrites pour le film.

    La première chanson, intitulée Sigismond le Strasbourgeois, est une chanson aux airs patriotiques qui retrace la vie d'un jeune Alsacien ayant opté pour la France en 1871 et qui choisit de s'engager dans l'armée pour partir dans les colonies. La seconde chanson a été composée sur le mode de la complainte, un genre populaire que chantaient des chansonniers qui parcouraient les routes, inventaient des chansons s'inspirant de l'actualité, les interprétaient et les vendaient par feuillets.

    Elle s'appelle La Complainte de Bouvier l'éventreur et est interprétée dans le film par Jean-Roger Caussimon lui-même. La dernière chanson, qui conclut le film, est quant à elle inspirée des chants révolutionnaires de la Commune de Paris. Elle s'intitule La Commune est en lutte et sert à deux reprises d'illustration sonore au film : la première fois — interprétée par Michel Galabru — lorsque Joseph Bouvier attend les gendarmes encerclé par les bergers qui l'ont pris en flagrant délit, et la seconde fois lors de la scène finale qui retrace une grève ouvrière réprimée par la gendarmerie.

    Cette dernière chanson a fait l'objet de plusieurs interprétations :

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