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cinéma

  • UN HYMNE A LA LIBERTE ET A LA JEUNESSE TUNISIENNE

    A ne pas manquer, "A peine j'ouvre les yeux", le premier film de Leyla Bouzid, un film qui fait du bien en cette fin d'année difficile et violente, parce que la cinéaste signe, en musique, un véritable hymne à la liberté, l'hymne de toute une partie de la jeunesse arabe.

    A Tunis, en 2010, Farah, qui vient d'obtenir une mention au baccalauréat, vit seule avec sa mère. Celle-ci voudrait qu'elle devienne médecin mais la jeune fille ne rêve que de musique. Avec son groupe de rock, elle prend des risques en chantant des paroles qui dressent un portrait peu flatteur des dirigeants du pays. Elle est un peu insouciante quand elle se produit, avec ses amis, dans un bar rempli d'hommes. Sa mère craint pour sa sécurité et la rappelle à l'ordre. Mais Farah est une rebelle. Un jour, Bohrène, son petit ami, arrive en retard à une répétition. La veille, il a été arrêté et brutalisé par la police...

    Acteurs : Baya Medhaffer, Ghalia Benali, Montassar Ayari, Lassaad Jamoussi, Aymen Omrani, Deena Abdelwahed, Youssef Soltana, Marwen Soltana, Najoua Mathouthi, Younes Ferhi, Fethi Akkari, Salwa Mohamed
     
     
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  • PAUL ROBESON FILS D'ESCLAVE

    Paul Robeson est né à Princeton (New Jersey, USA) en 1898, était le fils d’un esclave marron de Caroline du Nord.

    D’abord pasteur, puis professeur, il se tourna, après s’être installé en Angleterre dès 1920 pour échapper à la ségrégation, vers le cinéma et la chanson, grâce à une remarquable voix de basse qui allait le rendre célèbre.

    En tant qu’acteur, Robeson est notamment connu pour son interprétation du film The Emperor Jones de Dudley Murphy en 1933.

    En 1936 il alla soutenir le bataillon Abraham Lincoln, composé de volontaire américains participant aux Brigades Internationales en Espagne.

    Ne se contentant pas d’interpréter des chansons engagées, Robeson, véritable militant, n’hésita pas à se rendre en Union soviétique pour y dénoncer le racisme américain et la ségrégation.

    Rentré aux États-Unis pendant la guerre et accusé d’être un communiste il se vit confisquer son passeport.

    Un concert de Robeson, organisé à Peekskill, au nord de New York en 1949, suscita de violents affrontements. Les sympathisants du Ku Klux Klan, qui voulaient empêcher cette manifestation, y reçurent le soutien de la police.

    En 1959 il se rendit à la fête de l'Humanité où il reçut une accueil enthousiaste.

    Eugène Bullard, qui  était venu en bus assister au concert de son ami Robeson, y fut battu et matraqué.

    Paul Robeson fut l’un des premiers à faire campagne contre l’apartheid en Afrique du Sud.

    Outre une vingtaine de films, pour la plupart britanniques, Robeson a été immortalisé par son interprétation de la chanson Old Man River.

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  • LA JUGE ET L'ASSASSIN

    La bande originale du film a été composée et écrite par Philippe Sarde et Jean-Roger Caussimon. Au delà des illustrations sonores très riches (extraits d'opéras et airs populaires de la fin du XIXe siècle), le réalisateur a commandé trois chansons spécialement écrites pour le film.

    La première chanson, intitulée Sigismond le Strasbourgeois, est une chanson aux airs patriotiques qui retrace la vie d'un jeune Alsacien ayant opté pour la France en 1871 et qui choisit de s'engager dans l'armée pour partir dans les colonies. La seconde chanson a été composée sur le mode de la complainte, un genre populaire que chantaient des chansonniers qui parcouraient les routes, inventaient des chansons s'inspirant de l'actualité, les interprétaient et les vendaient par feuillets.

    Elle s'appelle La Complainte de Bouvier l'éventreur et est interprétée dans le film par Jean-Roger Caussimon lui-même. La dernière chanson, qui conclut le film, est quant à elle inspirée des chants révolutionnaires de la Commune de Paris. Elle s'intitule La Commune est en lutte et sert à deux reprises d'illustration sonore au film : la première fois — interprétée par Michel Galabru — lorsque Joseph Bouvier attend les gendarmes encerclé par les bergers qui l'ont pris en flagrant délit, et la seconde fois lors de la scène finale qui retrace une grève ouvrière réprimée par la gendarmerie.

    Cette dernière chanson a fait l'objet de plusieurs interprétations :

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